La Folie Du Pleutre 16. Fin De LÉpilogue.
La folie du pleutre 16. Fin de lépilogue. Envoi
Seul dans mon lit je suis, épuisé, complètement crevé. Je réalise que jai joui au moins trois fois. Mon teeshirt qui me fait office de pyjama est trempé de foutre. Les draps du lit aussi. Jai envie de rester là, mendormir et ne plus me réveiller. Jai mal au cur, envie de vomir. La jalousie cette fois prend le dessus de mes envies de luxure avec Marion. Je laime et je panique à lidée de la perdre.
Pris soudain dune force qui me submerge, je décide de me lever et daller exploser ma colère et mes ressentiments. Debout, je sens mes jambes qui tremblent, elles ont du mal à me soutenir. Je gagne difficilement le couloir pour aller retrouver les salauds dans la chambre du fond. Il y a bien dix minutes que mon beau-père et Marion ont quitté notre chambre. Je mapproche sans bruit. La porte est fermée, je ne peux rien voir. Aux bruits de voix je découvre que le pote du cousin est aussi de la partie.
La porte fermée, je ne peux rien voir, mais je sais sans aucun doute, que tous les trois vont la baiser une partie de la nuit sans se soucier pas de ma présence. Ils se sont bien rendus compte quelle répondait favorablement à leurs avances le soir au dîner. Ils pouvaient même croire quelle les a allumés. Je le pensais également en la voyant rire de leurs plaisanteries salaces. Mon beau-père, me l'a bien montré.
Si je ne peux rien voir, par contre je peux tout entendre, surtout, et je suis surpris de le constater, quils parlent à voix haute sans soucis de se faire entendre. Je reconnais tout de suite la voix de mon beau-père au milieu des ricanements de ses deux complices. A tour de rôle ils la questionnent. La voix de Marion est timide hésitante par moment.
- Tu nous as bien allumés hier soir, non ?
- Vous mavez fait boire répond-elle en gloussant.
Visiblement elle est à laise. On peut même penser quelle est bien contente, comme joyeuse.
- Allons, allons, tu avais les seins nus pour nous exciter. Tu es une bonne salope. Tu veux quon te baise maintenant ?
-
- Dis-le salope. Dis-le bien fort quon tentende.
- Oui !
- Quoi oui ?
- Je veux que vous me preniez.
- Et ton mari ?
-
- Tu as envie de te faire baiser à côté de ton cocu ?
-
- Tu veux répondre, oui ?
- Oui !
- Oui, quoi ?
- Jai envie me faire baiser sans rien lui dire.
- Tu es une pute hein ?
- Oui.
- Tu las déjà trompé ?
- Non, jamais.
- Menteuse, dis-nous la vérité.
- Une fois seulement, ajoute-t-elle.
- Tu vois, salope que tu es une pute. Tu lui as dit ?
- Oui, je lui ai avoué !
- Et alors ?
- Il ma pardonné, ajoute-t-elle en riant.
- Tu nas pas recommencé ?
- Non, je vous jure.
- Tu es une menteuse. Et là, tu vas lui dire que tu veux te faire baiser par nous trois ?
-
Elle ne répond pas mais son silence est signe dacquiescement, surtout quil saccompagne à nouveau dun rire. Je comprends que ces salauds veulent lhumilier et la contraindre à devenir leur esclave sexuelle en la soumettant à un chantage. Jentends que la voix de Marion est hésitante, mais pas du tout apeurée, même détendue. Comme ils insistent, elle finit par lâcher.
- Oh non. Vous ne lui direz pas non plus, hein ?
- Si tu ne veux pas quon lui dise tu feras ce quon te dira de faire.
- Oui ! Promis.
- On va montrer tes photos à nos copains et on viendra te baiser chez toi.
- Oh, mon dieu. Ne lui dites rien, sil vous plait.
Cette fois encore elle accompagne sa réponse dun gloussement étouffé. Cest le cousin qui lui demande encore.
- Je suis sûr que tu las encore trompé. Il a vraiment une tête de cocu.
- Si, une autre fois dit-elle, en riant carrément cette fois.
- Il le sait ?
- Non.
- Tu tes éclatée ? Dis-nous.
- Je suis retournée voir Monsieur David chez lui. Il ma faite baiser par des amis à lui.
- Oh la salope ! Ils étaient combien ?
- Trois et Monsieur David.
- Ils tont tous baisée ?
- Oui !
- Enculée ?
- Oui !
Marion avait lair contente de leur raconter ses exploits. Et moi caché derrière cette porte, cocu et bien cocu, japprenais de sa propre voix quelle me mentait, que cette fois encore elle avait sucé, branlé et s'était laissée baiser, enculer toute une nuit alors que j'étais en déplacement. Elle se confie avec désinvolture comme heureuse d'avouer à ces salauds qu'elle m'a cocufié à mon insu. Tout mon corps se met à trembler. Je suis prêt à entrer et tout casser, mais encore une fois le courage me manque. Je suis au fond du trou. J'entends alors mon beau-père lui dire.
- Allez, couche toi là. On va te faire reluire à notre tour !
S'ensuivent des rires, gloussements, soupirs, des mouvements de corps qui me parviennent de lintérieur de la chambre. Marion pousse des gémissement alors que les trois salauds redoublent de mots salaces, dinsultes sans que ma femme ne proteste. Au contraire jentends son souffle court devenir plus intense. Ils sont passés à laction.
Les quelques minutes qui suivent sont pour moi insupportables. Entre ce que je viens d'entendre de sa propre bouche et les bruits indubitablement de sexe qui transparaissent au travers de la porte, je suis anéanti, incapable de bouger ou d'agir. Mes tempes bourdonnent, je tremble. Je sens mon sang bouillonner dans mes artères. C'est la voix du cousin qui me ramène à la réalité :
- Tu la sens ma grosse queue ?
Ça y est ! Le cousin la baise. Il est en elle. En guise de réponse, c'est un râle que j'entends.
- Entre-donc petit con ! Je sais que tu es là. Vient voir ta belle Marion. Vient voir comme elle aime la bite.
Comme un automate, ne réalisant pas vraiment ce je fais, je tourne la poignée de la porte et je pousse le battant. Là, je reste pétrifié. Un tableau fascinant, surréaliste me saute aux yeux quand mon regard plonge dans la pénombre de la chambre du cousin. Marion débarrassée de sa chemise de nuit, est entièrement nue comme les trois hommes. Elle ne se rend pas compte de ma présence, toute à son activité. Elle est allongée sur le dos au travers du lit. Sa tête est dans le vide, renversée en arrière, en hyper extension et supportée par les mains de mon beau-père. Comme les avaleurs de sabres dans les foires dantan, cette position ouvre laccès aux profondeurs de la gorge et même au delà. Ses lèvres sont écartelées par la queue qui la pénètre entièrement. Comme la bouche dun serpent qui cherche à avaler une proie surdimensionnée, les mâchoires de ma femme sont déformées de façon démesurée, excessive pour engloutir le membre quelle ne cherche pas à refuser mais plutôt à avaler. Mon beau père lui tient la tête sous la nuque de ses deux mains pour lui pilonner la gorge. Le visage de Marion est rouge, cramoisi, l'air lui manque et jai peur quelle ne sétouffe. Mais soudain elle se libère du mandrin pour recharger ses poumons dair. Quelques secondes seulement, juste avant que ce salaud ninvestisse à nouveau sa bouche et sa gorge sans aucune délicatesse et reprends les va et viens de sa queue enfournée pour son seul plaisir. Marion a sa main droite sous les couilles de son violeur quelles malaxent avec application et désir.
Pendant ce temps pour compléter ce tableau, les deux autres ne perdent pas de temps. Mon cousin, à genoux entre les cuisses largement écartées de ma femme lui bourre la chatte de sa grosse bite. Il lui crache des insultes salaces.
Inutile de dire leffet que ces manifestations provoquent chez moi et au niveau de mon entre-jambes. Ma bite me fait mal mais je n'arrive plus à bander. Un filet de mouille s'écoule doucement de son méat. Je jouis en continu, mes nerfs sont tendus à en craquer. Jai soif, ma langue est collée à mon palais.
Le troisième larron n'est pas en reste. Allongé derrière elle, le long de son corps, il lui caresse les seins, pinçant, étirant les tétons. Il a sa bite dans la main libre de Marion qui la branle doucement. Il regarde avec insistance les membres de ses complices aller et venir dans lintimité et la bouche de ma chérie. Il lui susurre des mots au creux de l'oreille. Des mots que je n'arrive pas à entendre.
Jai devant moi lévidence que Marion ne sait ou ne peut pas résister à ses pulsions sexuelles. Je reste là, immobile planté sur le pas de la porte à contempler ce tableau irréel.
Sur le point de péter les plombs, je décide dentrer dans la chambre et me manifester. A peine ai-je fais un pas que mon beau père m'interpelle à haute voix.
- Approche, mate comme elle est heureuse !
Il affiche un sourire de mépris et madresse un clin dil lair de me faire comprendre que je suis un beau cocu. Les deux autres considèrent enfin mon existence à leur tour mais aucun ninterrompt ce quils font avec ma femme.
Marion est trop impliquée dans lacharnement de sexe quelle subit pour être en position de se rendre compte de quoi que ce soit. Prisonnière des trois bites, elle alterne manque dair et soupirs de jouissance. La liqueur qui séchappe de sa bouche est un mélange de salive et de produit de sécrétions de la queue de mon beau-père. Puis mon beau-père lui relève la tête dans ma direction.
- Regarde, petite salope ! Ton cocu de mari est là. Il assiste à ta débauche.
Quand elle me voit, Marion a dabord le geste de se redresser et de se dégager de lemprise des sexes qui la ramonent. Sa position est inconfortable au possible, mais mon beau-père pervers lui maintient bien haut la tête pour quelle puisse bien me voir. Le salaud. Elle a les yeux exorbités par la frayeur. Elle réalise enfin la situation. Elle panique quand elle comprend quelle vient de se faire surprendre dans une situation de trahison par rapport à nous. Elle croise un instant mon regard pour y lire colère et souffrance. Pourtant aussitôt, jai envie de lui témoigner mon amour et ma bénédiction. Elle est dabord surprise, puis des larmes apparaissent dans ses yeux pour sécouler sur ses joues. Alors, lentement elle sabandonne à ses bourreaux.
Mon beau-père affiche un sourire vainqueur et réintroduit sa bite dans la gorge de Marion. Le cousin qui na pas interrompu ses va et vient accélère sentant venir sa jouissance, exacerbée par la situation. Le salaud, me voyant, a le vice dabaisser la jambe de Marion qui me fait face pour que je puisse bien mimprégner de la vision de sa bite quil engloutit entièrement dans sa chatte. Dans cette position rien ne peut méchapper, il moffre une vue humiliante car sa queue est plus grosse que la mienne et il l'enfonce jusquaux couilles dans le ventre de ma bien aimée. Je peux suivre la progression de lintroduction par la bosse de sa queue visible sur le ventre lisse et plat de Marion. Mes yeux ne pouvaient pas se détacher de cette image, ce sexe allant et venant le long de son ventre violant sa matrice. Le bout atteint son nombril tant sa queue est longue. Tout comme celle du beau-père qui glisse de concert dans sa gorge jusquà la naissance de son cou si fin quil se déforme sous la pression du sexe qui lenvahit.
Tous les trois souhaitent moffrir le spectacle de ma femme, si fragile, réservée et même timide soumise, mais heureuse, à la lubricité de ses pulsions incontrôlables.
Je constate alors que Marion a repris la masturbation du mandrin quelle avait lâché un moment. Cette fois je la vois vivre sa débauche, avec ma complicité comme spectateur. Elle est heureuse, libérée. Elle participe activement à faire jouir et à jouir. Sa langue joue avec la bite qui lui fouille la bouche, elle avance son bassin en se cambrant pour aider à la pénétration encore plus loin de la bite de mon cousin.
- Tu vois, salope, ton cocu aime te voir te faire mettre. Branle-toi dit-il sadressant à moi.
Et moi, docile et soumis, jempoigne ma bite qui bande mou et me fait mal. Après seulement quelques seconde et quelques spasmes, jéjacule devant moi quelques malheureuses gouttes de foutre sur le parquet de la chambre, au comble de lhumiliation. Mon cousin et mon beau-père éclatent de rire.
Cela constitue un signal pour les autres voyous. Ils déchargent de concert leur foutre qui, dans la bouche, qui dans le vagin, qui sur les seins et le ventre de ma femme qui sabandonne dans une jouissance bruyante sans soucis de réveiller la maisonnée.
Mon beau-père lui libère la bouche, sa semence avalée, mon cousin abandonne le ventre de Marion et me dit :
- Je suis sûr que je te lai engrossée ta pouffiace, avec toute la purée que je lui ai envoyée.
Et il accompagne sa phrase dun rire goguenard à mon encontre.
Cest à ce moment que Marion éclate en sanglots, complétement abattue. Nous savons tous les deux quelle est enceinte déjà, mais c'est cette soumission au sexe qui la démoralise, la blesse. Et elle ne sait pas encore quelle va être ma réaction demain. Je suis moi même au plus bas. De multiples sentiments me submergent. Je suis cocu et Marion ma trompé à mon insu. Elle na pas pu résister aux avances du sexe des mâles et d'autant plus, quelle réalise quelle sest laissée culbuter par mon propre beau-père.
Après avoir bien profité de ma femme, les trois salauds quittent la chambre pour aller se taper une bière en cuisine. Il est quatre heures du matin. Je les entends murmurer des phrases toutes plus salaces les unes que les autres concernant ma chérie.
- Elle est bonne hein ma bru ? Je laurais bien enculée !
- Sa chatte est bien élastique et serrée. Je lui ai rempli le vagin à ras bord, ajoute mon cousin.
- Moi elle ma bien branlé et la purée que je lui ai juté sur les seins elle nest pas prête
de loublier !
- On pourrait lemmener loffrir à nos potes du club de pétanque, non ?
Ils éclatent de rire, sans soucis de réveiller maman et tata. Marion s'arrache du lit. Du sperme s'écoule d'entre ses cuisses et du bord de ses lèvres. Elle se dresse devant moi, droite, immobile, sans savoir quelle conduite tenir. Après un moment d'hésitation, je la prends dans mes bras en signe d'absolution. Je la serre très fort contre moi. On sanglote tous les deux. Je la saisis par la taille et nous regagnons notre chambre.
Je me couche sans un mot, sans savoir quoi dire. Elle veut aller se doucher pour effacer les traces de sa déchéance. Mais je lui demande de venir se coucher en gardant les odeurs et souillures sur son corps. Je suis à nouveau partagé par ces sentiments ambigus. Heureux davoir vu combien elle avait excité les mâles et combien elle avait manifesté son plaisir à se faire prendre de cette façon.
Elle est venue se blottir contre moi. De sentir son corps chaud mais souillé me rendait heureux. Je venais de comprendre que nous allions devenir un couple libertin, que je lui laisserai assouvir ses pulsions mais avec ma complicité. Personne ne sort perdant de cette aventure. Nous y avons gagné de consolider notre amour.
Au point de s'endormir, elle me glisse à l'oreille
- Je t'aime, garde moi auprès de toi.
Quand je me réveille au milieu de la matinée, elle est lovée contre moi, chatte qui ronronne. Elle membrasse amoureusement puis se glisse hors du lit pour aller se doucher. Je présume quelle doit en avoir besoin pour se débarrasser des souillures quelle a reçues cette nuit. Je la regarde marcher nue vers le couloir pour rejoindre la salle de bain. Son cul se balance au rythme de ses déhanchements planté au haut des ses cuisses. Qu'elle est belle ! Je comprends sa double personnalité. L'une réservée et timide, l'autre qui lui fait perdre toute réalité avec les règles de la vie de couple.
Au petit déjeuner ma mère est toute attentionnée avec Marion et moi, comme si elle voulait se faire pardonner son silence. Elle ne sait pas que je sais. Par contre elle a bien conscience que Marion sest rendue compte de sa complicité passive.
Moi je sais que quelque part elle a agit pour se venger de cette jeune et jolie femme qui a séduit son garçon. Comme presque toutes les mères !
Quand les trois salauds arrivent pour déjeuner, ils arborent un sourire aux lèvres. En les voyant sapprocher, Marion est écarlate, cramoisie. Les yeux dans son bol de café, elle nose lever les yeux vers eux. Un silence s'installe autour de la table.
Vu l'heure avancée de la matinée, je décide de rentrer à Paris. Marion évite les hommes et reste réservée en embrassant ma mère.
Jai eu ce que je voulais. La voir céder et se faire baiser à mon insu et surtout prendre son pied. Jai découvert une nouvelle fois, une femme perverse, prisonnière de ses pulsions, chienne quand elle est en situation de se libérer de ses contraintes morales.
Elle a sucé, pompé, branlé sans remords. S'est laissée prendre sans aucune réticence. Ils lont fait parler, ultime humiliation pour une femme que de dire ce quelle a de plus secret en elle. Lui arracher les images de son jardin secret, celles qui alimentent nos libidos au moment de laccouplement. Ces pensées que l'on ose à peine à s'avouer soi-même.
Aujourdhui avec une fille et un petit garçon nous formons un couple classique. Marion est une mère attentionnée qui adore ses s et ne manque aucune occasion dassouvir mes fantasmes. Elle m'aime et me le prouve chaque jour. Je le sais, si l'occasion se présente elle s'abandonnera à ses pulsions, mais cette fois ce sera avec ma complicité. Le couple a gagné.
Nous navons plus jamais joué avec le feu de la débauche sans nous être concertés. Maman, elle a gagné en respect auprès de ma famille. Ils ne sont jamais venus la partouzer comme ils lavaient menacée.
Il est un temps pour le sexe débridé et un autre pour la vie de famille, celle de chaque jour.
FIN
PS. Il est évident que les commentaires encouragent à poursuivre !
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!